Ce circuit à travers bois, collines et ruisseaux, traverse des lieux-dits aux noms évocateurs, traces d’une histoire longue de plus de mille ans.
Détail de l'itinéraire
Description
Parking : Salle des fêtes
Départ : Place de l’Abbé Cruzel
«Vinouse» vient du latin vinosa attesté dès 1275, qui témoigne de la présence de la vigne très répandue sur les terres les moins fertiles.
Le nom occitan du ruisseau Nadalou évoque le prénom Noël qui était donné aux enfants nés ce jour-là. Marchandel, Mauquiés, Jacobiel, Blanchous, Servals, Pébril font référence à des noms de famille. Autant de hameaux ou «masages» nés après la destruction de Verlhac par les troupes de Louis XIII en 1623 et aujourd’hui disparus.
A voir en chemin : L’église en terre crue, les bords du Nadalou, les ruines des Blanchous et des Servals Verlhac, bastide fondée avant 1249 par Raymond VII comte de Toulouse, a eu par la suite un habitat particulièrement dispersé, lié à la destruction des villages protestants pendant les Guerres de religion. Les familles élargies de paysans se regroupèrent alors dans des fermes isolées appelées «masages», tandis que, plus tard, les propriétaires terriens firent construire de belles demeures en briques rouges.
Les constructions les plus modestes de cet habitat éclaté ont disparu, pour les ernières dans les années cinquante, il n’en reste aujourd’hui que quelques ruines et l’empreinte de leurs noms dans la mémoire collective ainsi que sur le cadastre. Comme dans la plupart des communes environnantes, beaucoup de maisons traditionnelles en terre (adobes) et en brique, aujourd’hui restaurées, portent des dates qui vont de 1850 à 1880, période d’une certaine prospérité dans nos campagnes qui se traduit par un pic de la population : le territoire comptait 970 habitants en 1861. Dans la commune de 2269 hectares, sillonnée par le Tescou, le Tescounet et le Nadalou, 79 % des terres étaient agricoles en 2018. Elle compte aujourd’hui plus de 500 habitants.
1/Prendre la route de la Salvetat-Belmontet, puis prendre la route
de Verlhac à la Vinouse. S’engager sur le chemin de Marchandel
(voie sans issue) ; continuer sur 350 m environ puis prendre à
droite sur le chemin de terre.
2/Tourner à gauche au niveau de la route, passer le pont et
remonter, continuer jusqu’au croisement. Prendre à droite
direction La Salvetat-Belmontet.
A la fourche, rester sur la gauche, direction Impasse de la
Vinouze.
3/Tourner à gauche au niveau de la route, passer le pont et
remonter, continuer jusqu’au croisement. Prendre à droite
direction La Salvetat-Belmontet.
A la fourche, rester sur la gauche, direction Impasse de la
Vinouze.
4/Tourner à droite sur la route et continuer sur 400 m environ.
Tourner à gauche sur le chemin de terre. Descendre jusqu’au
passage à gué.
5/Traverser le Nadalou puis tourner à gauche sur le sentier en sousbois et rester en lisière de champ.
6/ Tourner à gauche sur le chemin en lisière de bois puis rester
toujours sur votre droite. Après la montée, prendre à gauche sur
le chemin enherbé jusqu’à la route. Enfin prendre à gauche vers le village.
Départ : Place de l’Abbé Cruzel
«Vinouse» vient du latin vinosa attesté dès 1275, qui témoigne de la présence de la vigne très répandue sur les terres les moins fertiles.
Le nom occitan du ruisseau Nadalou évoque le prénom Noël qui était donné aux enfants nés ce jour-là. Marchandel, Mauquiés, Jacobiel, Blanchous, Servals, Pébril font référence à des noms de famille. Autant de hameaux ou «masages» nés après la destruction de Verlhac par les troupes de Louis XIII en 1623 et aujourd’hui disparus.
A voir en chemin : L’église en terre crue, les bords du Nadalou, les ruines des Blanchous et des Servals Verlhac, bastide fondée avant 1249 par Raymond VII comte de Toulouse, a eu par la suite un habitat particulièrement dispersé, lié à la destruction des villages protestants pendant les Guerres de religion. Les familles élargies de paysans se regroupèrent alors dans des fermes isolées appelées «masages», tandis que, plus tard, les propriétaires terriens firent construire de belles demeures en briques rouges.
Les constructions les plus modestes de cet habitat éclaté ont disparu, pour les ernières dans les années cinquante, il n’en reste aujourd’hui que quelques ruines et l’empreinte de leurs noms dans la mémoire collective ainsi que sur le cadastre. Comme dans la plupart des communes environnantes, beaucoup de maisons traditionnelles en terre (adobes) et en brique, aujourd’hui restaurées, portent des dates qui vont de 1850 à 1880, période d’une certaine prospérité dans nos campagnes qui se traduit par un pic de la population : le territoire comptait 970 habitants en 1861. Dans la commune de 2269 hectares, sillonnée par le Tescou, le Tescounet et le Nadalou, 79 % des terres étaient agricoles en 2018. Elle compte aujourd’hui plus de 500 habitants.
1/Prendre la route de la Salvetat-Belmontet, puis prendre la route
de Verlhac à la Vinouse. S’engager sur le chemin de Marchandel
(voie sans issue) ; continuer sur 350 m environ puis prendre à
droite sur le chemin de terre.
2/Tourner à gauche au niveau de la route, passer le pont et
remonter, continuer jusqu’au croisement. Prendre à droite
direction La Salvetat-Belmontet.
A la fourche, rester sur la gauche, direction Impasse de la
Vinouze.
3/Tourner à gauche au niveau de la route, passer le pont et
remonter, continuer jusqu’au croisement. Prendre à droite
direction La Salvetat-Belmontet.
A la fourche, rester sur la gauche, direction Impasse de la
Vinouze.
4/Tourner à droite sur la route et continuer sur 400 m environ.
Tourner à gauche sur le chemin de terre. Descendre jusqu’au
passage à gué.
5/Traverser le Nadalou puis tourner à gauche sur le sentier en sousbois et rester en lisière de champ.
6/ Tourner à gauche sur le chemin en lisière de bois puis rester
toujours sur votre droite. Après la montée, prendre à gauche sur
le chemin enherbé jusqu’à la route. Enfin prendre à gauche vers le village.